L’escrime est un des sports olympiques originaux. En effet, l’escrime a été présentée à tous les jeux olympiques d’été depuis 1896. C’est l’art de toucher un adversaire avec la pointe ou le tranchant d’une arme blanche sur les parties valables sans être touché.
On utilise trois types d’armes : l’épée, le sabre et le fleuret. Ces trois armes sont mixtes : épée féminine et masculine, fleuret féminin et masculin et sabre féminin et masculin. Les épreuves sont individuelles ou par équipes.
L’escrime est l’un des sports où le français est la langue officielle. Chaque pays utilise sa langue pour les compétitions nationales, mais dès que la compétition devient internationale, le français est obligatoire pour l’arbitrage.
Le sabre diffère des deux autres armes, car il est possible de toucher avec autre chose que la pointe de la lame : c’est une arme d’estoc, de taille et de contre-taille (ou de pointe, de tranchant et de contre tranchant). Comme le fleuret le sabre est une arme conventionnelle, c’est-à-dire qui répond à des règles de priorité afin de déterminer la priorité d’attaque et donc, lequel des deux tireurs marquera le point. La cible valable au sabre est tout le tronc du corps, les bras et la tête.
Exemple d’un combat au sabre (ici)
Au sabre, les combats se déroulent très rapidement. Lors des combats d’élimination au sabre, les tireurs n’ont pas de pause à chaque 3 minutes contrairement à l’épée et le fleuret. En effet, au sabre, il y a une pause seulement à la moitié du match, soit à 8 points (match de 15 points). Au sabre, les escrimeurs n’ont pas beaucoup de temps pour réfléchir en match dû à la vitesse des combats. Alors, une des nombreuses aptitudes requisent pour le sabre est de savoir prendre des décisions vite et sans hésiter. Le sabre s’adresse surtout au type de personnes qui aiment l’action et la rapidité.
L’épée diffère du sabre, mais est semblable au fleuret, car il dans les deux cas, les escrimeurs doivent impérativement toucher avec la pointe de la lame. De plus, l’épée n’est pas une arme de type conventionnel, car il n’y a pas de règles de priorité. C’est le premier qui touche qui a le point. La cible à l’épée est tout simplement tout le corps, de l’orteil à la tête.
Exemple d’un combat d’épée (ici)
À l’épée, les combats se déroulent très lentement. Lors des combats d’élimination à l’épée, les tireurs ont une pause d’une minute à chaque 3 minutes de combat contrairement au sabre. À l’épée, les escrimeurs ont beaucoup de temps pour réfléchir en match dû à la vitesse des combats. Alors, une des nombreuses aptitudes requisent pour l’épée est d’avoir de la patience. L’épée s’adresse surtout au type de personnes réfléchies, qui aiment des combats longs et stratégiques.
Le fleuret est un mélange entre l’épée et le sabre. En effet, lors de combat au fleuret, il faut toucher seulement avec la pointe de l’arme ce qui similaire à l’épée. Cependant, le fleuret est aussi une arme de type conventionnel comme le sabre. La cible au fleuret se délimite seulement au tronc du corps, c’est-à-dire que seulement le torse compte.
Exemple d’un combat au fleuret (ici)
Au fleuret, les combats se déroulent très lentement. Lors des combats d’élimination au fleuret, les tireurs ont une pause d’une minute à chaque 3 minutes de combat contrairement au sabre. Au fleuret, les escrimeurs n’ont pas beaucoup de temps pour réfléchir en match dû à la vitesse des combats. Alors, une des nombreuses aptitudes requissent pour le fleuret est d’avoir de la patience. Le fleuret s’adresse surtout au type de personne réfléchie, qui aime des combats longs, stratégiques et la précision des mouvements.
Qui peut faire de l’escrime?
L’escrime s’adresse aussi bien aux garçons qu’aux filles à partir de 7 ans.
L’escrime est-elle dangereuse?
Comme tout sport, l’escrime comporte un risque, mais celui-ci est mince. En effet, malgré la manipulation d’armes non tranchantes, l’escrime est probablement le sport de combat le plus sécuritaire. Les normes de construction de l’équipement aussi que les règles de combat assurent la sécurités des athlètes.